Ciel Voilé
« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
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À quoi diable Adèle s’attelle-t-elle ? Censure, contrôle éditorial avec l'argent public ?
Xavier Azalbert, France-Soir Publié le 23 avril 2024
L'Adèle en question, c'est Adèle Van Reeth (« rite »). Et selon certains, cette Reeth irrite et mérite qu'elle hérite ici d'un petit recadrage.
D'ordinaire, je ne cède jamais à la pression, excepté à la 1664, où là, je l'avoue, j'ai très vite tendance à lâcher prise, peu habitué que je suis à boire de l'alcool. Cependant, étant donné que vous êtes nombreux à m'avoir demandé de prendre la parole à ce sujet afin d’analyser et recadrer les propos de cette dame, je me dois de m'y coller.
Adèle est un prénom d'origine allemande. « Yawohl ! » Officiellement, il fait allusion à la noblesse de l'âme et symbolise avant tout la générosité et la distinction morale. Ah mince ! Donc visiblement, il y a des exceptions. Non parce que, ça a beau être le 24 décembre au soir qu'on fête les Adèle, celle-ci, paraît-il, ce n'est pas un cadeau. Néanmoins, neutralité journalistique oblige, bornons-nous à analyser les faits avec objectivité.
Imposons-nous de fournir une analyse impartiale, à partir de la réponse « la » question qui s'impose : « Qu'a-t-elle dit exactement, Adèle Van Reeth, à cette occasion ? », « Était-elle dans son état normal ? ». Je vais commencer par la seconde question. Pourquoi ? Parce que répondre à cette seconde question, je dois m'abstenir. En effet, ne connaissant pas l'intéressée personnellement - et vous m'en voyez absolument ravi ! -, je ne peux apporter de réponse autre que « au pif. » Or, si je donne une réponse « au pif », on va dire que je l'ai dans le nez.
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