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Ciel Voilé

99 % de la population ne peut pas attraper la variole du singe

11 Août 2022, 06:26am

99 % de la population ne peut pas attraper la variole du singe

Dr Gérard Delépine – Le 9 août 2022 – mondialisation.ca

 

Contre la variole du singe, mieux que le vaccin expérimental : ne pas multiplier les partenaires sexuels

 

Depuis juillet 2022, l’OMS et les médias tentent d’affoler la population avec la variole du singe dont les cas européens avaient triplé en deux semaines. Le but vraisemblable de cette dramatisation serait de promouvoir une campagne de vaccination la plus large possible en utilisant des vaccins disponibles pourtant inadaptés et qui n’ont pas été correctement étudiés chez l’homme. D’ailleurs une semaine après l’alerte de l’OMS, la Haute Autorité de santé préconisait d’élargir la vaccination préventive aux groupes les plus exposés, un avis suivi par le gouvernement français. Ces tentatives de faire croire à une nouvelle peste justifie cette mise au point basée sur l’analyse des 1200 articles médicaux recensés par PubMed® [1] le 6 août 2022.

 

Le virus de la variole du singe n’est pas une maladie nouvelle

 

La variole du singe est causé par un virus à ADN double brin, de la famille des Poxviridae et du genre orthopoxvirus qui comprend trois autres agents pathogènes humains : le virus de la variole, le virus de la cowpox et le virus de la vaccine. Les Poxviridae sont qualifiés de virus anciens car ils ont été trouvés chez des insectes, des reptiles, des oiseaux et des mammifères datant de 500 millions d’années avant J-C. Actuellement, un certain nombre de réservoirs animaliers du virus sont connus comme les rongeurs et les primates. Aux US de très rares cas sporadiques de transmission à l’homme à partir de chiens de prairie captifs ont été observés. L’éradication de ce virus ne peut donc pas être espérée contrairement à la variole humaine.

 

La variole du singe a été décrite pour la première fois en 1959 chez des singes d’un institut de recherche à Copenhague, capitale du Danemark. Le premier cas humain a été identifié le 1er septembre 1970, à l’hôpital de Basankusu en République démocratique du Congo chez un enfant de neuf mois. Six autres cas ont été reconnus au Liberia, au Nigeria et en Sierra Leone entre octobre 1970 et mai 1971.

 

https://www.mondialisation.ca//99-de-la-population-ne-peut-pas-attraper-la-variole-du-singe/5670368

 

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Université d'été Résistance 2022

10 Août 2022, 13:31pm

Université d'été Résistance 2022

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Point de situation : Écoles, Monkeypox, recours..

10 Août 2022, 07:06am

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Comment la révolution verte de Bill Gates mène l'Afrique à sa perte

10 Août 2022, 07:00am

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Interview de Larissa 2/3 - Son arrestation par le SBU, interrogatoires, tortures et pressions

10 Août 2022, 06:35am

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Fraude scientifique majeure dans le traitement de la maladie d’Alzheimer, la « science » officielle AVAIT TRICHE pour nier les dangers de l’aluminium

10 Août 2022, 06:03am

 Fraude scientifique majeure dans le traitement de la maladie d’Alzheimer, la « science » officielle AVAIT TRICHE pour nier les dangers de l’aluminium

Publié le 2 août 2022 par pgibertie

A en croire les autorités il n’existerait pas de liens entre aluminium et Alzheimer et entre adjuvants dans les vaccins et des maladies auto immunes … La presse n’en avait que pour Robert Cohen et Bruno Lima, les lanceurs d’alerte comme Henri Joyeux n’étaient que des charlatans .

Comment pouvait il en être autrement puisque l’on savait qu’Alzheimer était la conséquence du dépot dans le cerveau de plaques amyloides . Mais ce que l’on savait reposait sur des photos truquées et une étude pipotée.

Contrairement à ce que pensaient jusqu’ici les scientifiques travaillant sur Alzheimer, la neuroinflammation du tissu cérébral n’est pas la conséquence de l’accumulation de plaques amyloïdes mais leur cause.

Il faut donc trouver d’autres explications à cette inflammation : défaillance du système immunitaire, aluminium ?

PLUS GRAVE : LA RESPONSABILITE DE L’ALUMINIUM DANS LES MALADIES AUTO IMMUNES

Il n’existe pas à ce jour d’études prouvant que l’adjuvant vaccinal aluminium est sans danger, c’est même le contraire.

Plusieurs études prouvent la responsabilité de l’aluminium dans bien des pathologies et pas seulement Alzheimer. Le consensus journalistico industriel prétendait que l’aluminium n’était pas dangereux et pourchassaient ce qui prétendaient le contraire, ils se sont trompés et l’on découvre même les conflits d’intérêt de Bruno Lima et de Robert Cohen.

 

 

 

https://pgibertie.com/2022/08/02/fraude-scientifique-majeure-dans-le-traitement-de-la-maladie-dalzheimer-la-science-officielle-avait-triche-pour-nier-les-dangers-de-laluminium/

 

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Sur quelles plateformes Internet Macron et ses sbires vous espionnent-ils pour vous ficher ?

10 Août 2022, 06:02am

Sur quelles plateformes Internet Macron et ses sbires vous espionnent-ils pour vous ficher ?

Sur quelles plateformes Internet Macron et ses sbires vous espionnent-ils pour vous ficher ?

Eric Verhaeghe 9 août 2022

 

Ficher les citoyens pour identifier les dissidents est devenu une activité industrielle en Occident (sur le modèle chinois), sous le prétexte (à la chinoise) d'éviter les interférences étrangères dans le débat démocratique. Dans ce cadre, que nous évoquions hier, les pays occidentaux se sont dotés d'une force de propagande active sur Internet. Cette militarisation de l'information commence par la mise sous surveillance de tous. En France, cette opération est confiée à l'agence Viginum, placée auprès du SGDSN. Nous vous détaillons aujourd'hui les plate-formes Internet sur lesquelles Viginum collecte les données qui concerne votre vie privée... même si elles n'ont rien à voir avec la Russie...

 

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/08/09/sur-quelles-plateformes-internet-macron-et-ses-sbires-vous-espionnent-ils-pour-vous-ficher-par-eric-verhaeghe/

 

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Le blé ukrainien est-il américain ?

10 Août 2022, 05:53am

Le blé ukrainien est-il américain ?

Alain Jejcic


       Depuis l’entrée en vigueur de la loi sur la vente des terres agricoles il y a exactement un an, trois grandes corporations transnationales états-uniennes ont acquis pratiquement un tiers des terres cultivables ukrainiennes. Selon la « Australian national review » les états-uniens posséderaient désormais 17 millions des 62 millions d’hectares de l’Ukraine (superficie totale du pays) ; 28% de l’Ukraine serait donc américaine !

 

Les acheteurs, les propriétaires sont des firmes US bien connues puisqu’il s’agit de Cargill, Dupont et Monsanto. Ce qui cependant est moins bien connu c’est que derrière ces enseignes célèbres ayant pignon sur rue apparaissent des fonds d’investissements – structures financières quelque peu obscures, caractéristiques de l’agiotage « new age »-. Celles-ci, passablement obscures mais puissantissimes, disposent de capitaux qui font tourner la tête se chiffrant en trillions (c’est-à-dire en milliers de milliards) de dollars. Au nombre de celles qui opèrent en Ukraine on compte en particulier Vanguard, Blackstone et Blackrock dont les capitaux sont respectivement dix, six et 0.9 trillions de dollars.

 

Pour donner la mesure de l’état des choses, la revue australienne mentionne l’exemple de l’Italie où les terres cultivables représentent 16.7 millions d’hectares. Ainsi, le pouvoir des marionnettes kiéviennes a fait en sorte que trois compagnies étatsuniennes possèdent désormais en Ukraine plus de terres cultivables que l’Italie, membre du G7.

 

Du coup, lorsqu’on évoque le blé ukrainien et son exportation, la question se pose de quoi parle-t-on exactement ? Pourquoi omet-on systématiquement de mentionner les fonds d’investissements américains pourtant très importantes parties prenantes dans l’affaire et, pourquoi pas, principales bénéficiaires ?

Mais, outre ce questionnement à première vue platement économique, la question se pose de savoir comment et pourquoi l’Ukraine en est arrivé là ?

 

 

https://www.librairie-tropiques.fr//2022/08/se-faire-du-ble-en-ukraine.html?

 

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96 % des stations de mesure de la chaleur de la NOAA sont placées de manière corrompue pour soutenir le récit du réchauffement climatique

10 Août 2022, 05:51am

96 % des stations de mesure de la chaleur de la NOAA sont placées de manière corrompue pour soutenir le récit du réchauffement climatique


Mercredi, 03 Août 2022 par : Ethan Huff - https://citizens.news/643406.html



Natural News) Il s'avère que presque toutes les stations de mesure de la température exploitées par la National Oceanic Atmospheric Administration (NOAA) sont placées de manière corrompue pour faire apparaître le pays comme " plus chaud " qu'il ne l'est en réalité, amplifiant efficacement le canular du " réchauffement climatique ".


Selon des recherches compilées par le Heartland Institute, 96 % des stations de température de la NOAA ne répondent pas aux normes de l'agence en matière de "placement non corrompu". La plupart d'entre elles sont situées près d'objets qui piègent ou produisent de la chaleur, corrompant ainsi leurs relevés.


D'autres sont situés dans des zones qui, depuis l'époque de leur placement, se sont fortement urbanisées. Cela aussi augmente les relevés de chaleur et donne l'impression que le "changement climatique" est réel. (Voir aussi : Le plus grand réchauffeur de la planète est le soleil, pas les flatulences des vaches ou les véhicules à essence).


"Avec un biais chaud de 96 % dans les mesures de température américaines, il est impossible d'utiliser une quelconque méthode statistique pour dériver une tendance climatique précise pour les États-Unis", déclare Anthony Watts, membre senior du Heartland Institute et directeur de l'étude.


"Les données des stations qui n'ont pas été corrompues par un placement défectueux montrent un taux de réchauffement aux États-Unis réduit de près de la moitié par rapport à l'ensemble des stations."


Un communiqué de presse du Heartland Institute explique en outre les normes que la NOAA est censée utiliser pour décider si une station de température est placée correctement pour une précision optimale - des normes que l'agence ne suit pas actuellement.

Les "Exigences et normes pour les observations climatiques [du service météorologique national]" de la NOAA stipulent que les instruments de mesure de la température doivent être placés "sur un terrain plat (terre ou gazon) typique de la zone entourant la station et à au moins 30 mètres de toute surface étendue en béton ou pavée", indique le communiqué.
Et que "tous les efforts seront faits pour éviter les zones où le terrain accidenté ou le drainage de l'air sont connus pour produire des données de température non représentatives".


Si la NOAA suivait ses propres directives, les températures moyennes à travers les États-Unis seraient bien plus basses que ce qui est rapporté. Il serait également révélé, à partir de données exactes, que le pays ne se réchauffe pas, en fait.


Une étude de 2009 a également révélé que la grande majorité des stations de température de la NOAA produisent des relevés de température inexacts.
L'article de Heartland fait suite à une autre étude publiée en 2009 qui mettait également en évidence les données erronées provenant des stations de température de la NOAA.


Intitulée "Is the U.S. Surface Temperature Record Reliable", cette étude a examiné plus de 1 000 stations et a révélé que 89 % d'entre elles présentaient des problèmes de biais thermique.


En d'autres termes, cela fait au moins 13 ans que l'on sait que les données de température de la NOAA sont inexactes et peu fiables, et pourtant le récit du changement climatique se poursuit au nom de la "science".


Le communiqué de presse du Heartland Institute aborde cette étude antérieure, soulignant que la situation des stations de température de la NOAA n'a fait qu'empirer au fil des ans. Et il ne semble pas y avoir de plans en place pour régler le problème.


"Le projet initial de 2009 sur les stations de surface a démontré de manière concluante que le système de surveillance des températures de surface du gouvernement fédéral était défaillant, la grande majorité des stations ne répondant pas aux propres normes de la NOAA en matière de fiabilité et de qualité", indique le communiqué.


H. Sterling Burnett, directeur du Arthur B. Robinson Center on Climate and Environmental Policy du Heartland Institute, a déclaré qu'après avoir personnellement inspecté les stations de surface de la NOAA au printemps dernier, il peut confirmer les conclusions du rapport de 2009.


"Cette nouvelle étude prouve deux choses", aurait déclaré M. Burnett.
"Premièrement, le gouvernement est soit inepte, soit refuse obstinément d'apprendre de ses erreurs pour des raisons politiques. Deuxièmement, on ne peut pas faire confiance aux relevés de température officiels du gouvernement. Il reflète un effet clair de biais de chaleur urbaine, et non les tendances nationales de température."


Les dernières nouvelles relatives au climat sont disponibles sur Climate.news.
Les sources de cet article comprennent :


Breitbart.com
NaturalNews.com

 

 

 

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La croissance massive des coraux à la Grande Barrière de Corail continue de défier toutes les prévisions climatiques apocalyptiques à la mode

10 Août 2022, 05:49am

La croissance massive des coraux à la Grande Barrière de Corail continue de défier toutes les prévisions climatiques apocalyptiques à la mode

 CHRIS MORRISON 4 AOÛT 2022 18:07

 

https://dailysceptic.org/2022/08/04/massive-coral-growth-at-the-great-barrier-reef-continues-to-defy-all-the-fashionable-doomsday-climate-predictions/

 

L’augmentation presque vertigineuse de la croissance annuelle du corail à la Grande Barrière de Corail (GBR) se poursuit, avec d’autres augmentations majeures enregistrées sur de vastes zones. Selon le résumé annuel 2021-22 de l’Institut australien des sciences de la mer (AIMS), les niveaux de couverture corallienne dans les zones nord et centrale du récif étaient à leur plus haut niveau au cours des 36 dernières années de surveillance.

 

La croissance est bien sûr une excellente nouvelle pour les écologistes, mais curieusement, au moment d’écrire ces lignes, la nouvelle est minimisée dans les médias grand public. La disparition des récifs coralliens du monde a longtemps été une histoire d’alerte incontournable pour les promoteurs de Net Zero. Pas plus tard qu’en octobre 2020, la BBC racontait des histoires sur le récif perdant la moitié de son corail. Le Guardian a été l’un des premiers à lancer l’apocalypse corallienne lorsque George Monbiot a déclaré à ses lecteurs en 1999 que la « destruction totale imminente des récifs coralliens du monde n’est pas une histoire effrayante ». Notant la croissance record récente, le journal a ajouté que « le réchauffement climatique pourrait compromettre la reprise ».

 

Cette idée que le réchauffement climatique causerait la mort des coraux est franchement une grosse ficelle. Le corail tropical, qui est étroitement lié à son cousin cnidaire la méduse, prospère dans les eaux entre 24°C et 32°C. Il est très adaptable mais semble ne pas aimer les changements soudains de température, souvent causés par des oscillations météorologiques naturelles telles que les événements El Niño. Comme le montrent les derniers résultats de l’AIMS, le corail se rétablit rapidement lorsque des conditions localisées normales reviennent. En fait, le corail pousse souvent plus vite dans des eaux plus chaudes près de l’équateur que le GBR. Le grand mensonge de l’agitprop suggère que des changements mineurs à long terme de la température de la mer effaceront le corail, mais les preuves scientifiques suggèrent le contraire.

 

La croissance sensationnelle est clairement visible dans le graphique ci-dessus pour le récif nord. La reprise se serait poursuivie après une « période de perturbations cumulées » de 2014 à 2020. Seuls trois des 24 récifs étudiés au cours des deux dernières années avaient diminué la couverture corallienne dure. La plus grande perturbation, bien sûr, est survenue vers 2016 et a été causée par une oscillation puissante et naturelle du Pacifique El Niño qui a rapidement augmenté les températures de l’océan environnant jusqu’à 3 ° C. Le réchauffement soudain effraie le corail et expulse les algues symbiotiques dans un processus communément appelé blanchiment. Comme nous pouvons le voir, cela s’inverse rapidement lorsque les températures de la mer se stabilisent. Les coraux existent, sous une forme ou une autre, depuis 500 millions d’années. Il est probable que ce processus naturel remonte aussi loin que la naissance de la vie telle que nous la connaissons sur Terre.

 

Dans le récif central, les déclins observés en 2012 et 2016 étaient dus à des événements naturels, à savoir le cyclone Yasi en 2012 et El Niño en 2016. Ce dernier a conduit au blanchiment vers 2019, et les choses n’ont pas été aidées par des épidémies d’attaques d’étoiles de mer de la couronne d’épines. Depuis, la croissance a été spectaculaire. L’année dernière, la couverture corallienne dure a augmenté à 33%, ce qui serait la plus élevée pour cette région. Au cours des deux dernières années, la couverture corallienne dure n’a diminué que sur quatre récifs individuels et a augmenté sur la plupart des autres récifs étudiés.

 

La partie sud de la GBR a généralement affiché la couverture corallienne la plus élevée, mais selon l’AIMS, elle a été la plus « dynamique » au cours des 36 années d’histoire de l’enquête. Ces dernières années, il y a eu une bonne croissance après les déprédations d’El Niño en 2016, mais il y a eu des attaques majeures d’étoiles de mer. AIMS note que de nombreux récifs du sud ont une couverture corallienne élevée, mais les étoiles de mer continuent de décimer certaines zones.

 

Dans l’ensemble, le GBR semble être en excellent état. L’AIMS note que dans les régions du nord et du centre, la couverture corallienne dure a atteint 36% et 33% respectivement. Les récifs se composent de beaucoup plus que du corail dur et contiennent une diversité d’autres espèces ainsi que des éponges et des algues. L’AIMS définit 30-50% comme une « valeur élevée », à partir d’enquêtes historiques.

 

Néanmoins, le corail est encore une arme trop précieuse dans l’agenda vert pour être jeté à la légère. Bien qu’elle ait mis en évidence des revers étonnants des récents déclins naturels des coraux, l’AIMS semble s’en tenir à l’histoire apocalyptique à la mode. « Les conséquences prévues du changement climatique, qui comprennent des événements de blanchissement massif des coraux plus fréquents et plus intenses, sont maintenant une réalité contemporaine. Simultanément, les facteurs de stress chroniques tels que la turbidité élevée, l’augmentation de la température des océans et l’évolution de la chimie des océans peuvent tous affecter négativement les taux de récupération, tandis que des perturbations aiguës plus fréquentes signifient que les intervalles de récupération sont de plus en plus courts », conclut-il.

 

Pour ce que cela vaut, mon intuition personnelle est que les petites créatures seront encore là dans 500 millions d’années, peut-être plus longtemps.

 

Chris Morrison est le rédacteur en chef de l’environnement du Daily Sceptic.

 

 

 

 

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