COVIDOSE à la GENEVOISE : LA HONTE !
dimanche 01 novembre 2020 22h16 – Jean-Dominique Michel
"Perseverare diabolicum", que dire d'autre ?!
Voici des mois que les autorités genevoises s'emballent dans une fuite en avant pour imposer des mesures de plus en plus coercitives et destructrices, dont l'inefficacité crève les yeux.
Au lieu de se préparer à l'augmentation des cas 'elles nous annoncent depuis des mois en évitant les mesures inutiles, voilà qu'elles partent en vrille dans le "toujours plus de la même chose quels qu'en soient le prix et l'(absence de) résultats" !
Je l'ai écrit et décliné ici sous toutes ses formes : la science (la vraie, pas celle des lobbies et des corrompus) MONTRE que le confinement ne sert à rien et même qu'il ne fait qu'aggraver les choses.
Comme nos pauvres autorités restent convaincues - à tort - que la décrue du mois d'avril était due à cette mesure, elles s'empressent de repartir dans cette direction malgré les analyses aussi probantes qu'il est possible en la matière -et la recommandation de l'OMS de l'éviter !
Le port du masque n'a pas non plus d'effet protecteur avéré alors qu'il présente de nombreux effets toxiques. Son imposition n'a donc PAS DE BALANCE COÛTS / BÉNÉFICES PROBANTE en population générale et s'avère même maltraitant et toxique sur les enfants et les jeunes !
Nous avons maintenant le recul pour comparer la situation entre les pays et voir notamment que l'Espagne et la France, qui ont durci les mesures tôt cet été "pour prévenir la résurgence de l'épidémie" sont en pleine panade, ce qui montre bien l'inutilité préventive de ces mesures alors que la Suède, qui n'a jamais masqué ni confiné, connaît une situation aujourd'hui exceptionnellement enviable.
Le Pr Christophe de Brouwer le dit avec la sagacité qui manque à nos comités d'experts :
"Et voilà, nos gouvernements ont pris des décisions qui, j'en ai la conviction, mèneront notre (nos) pays de catastrophe en catastrophe, pas seulement sur le plan socio-économique et individuel, mais aussi sur le plan sanitaire.
À force de vouloir contrarier la marche naturelle d’une épidémie, on en a, en quelque sorte, créé une."
Combien de temps allons-nous encore écouter des comités scientifiques corrompus puisque pétris de conflits d'intérêts ?!
Des comités qui ont mis en échec (et continuent de la faire) le traitement hydroxychloroquine / azothromycine, flingué par une campagne de dénigrement criminelle, portée entre autres par des Universités suisses et les "plus grandes revues médicales au monde", avec la complicité active de nos hôpitaux et de nos autorités de santé.
Des comités qui ont réussi à imposer un médicament inefficace et toxique, accrédité à la va-vite par Swissmedics, assurant à son producteur, le laboratoire Gilead, qui arrose l'ensemble du système de santé suisse et romand, des centaines de millions de dollars de bénéfices au prix de la santé et même de la vie de nombreux patients !
Des comités qui verrouillent des mesures inefficaces et homicides en dictant leur conduite et leurs décisions à des politiciens ignares et paniqués !
Jusqu'à quand subirons-nous passivement cette immense cacade, doublée d'une arnaque détestable, qui détruit nos enfants et nos anciens, massacre notre économie, commence à réduire à l'indigence des populations entières trahies par leurs gouvernants qui ne sont plus que de vagues pantins aux ordres des pharmas et des GAFAM ?!
Nous appelons à une insurrection des consciences.
Les mesures imposées sont délétères, abusives, brutales, absurdes, crapuleuses et folles.
"Ah oui, et que feriez-vous à la place ?" me demande-ton souvent. Comment convient-il d'agir ? Mais c'est simple au possible !
Ce que la plupart des gens ignorent (les médias et les autorités y veillent), c'est que les plans pandémie dont nous disposions n'ont simplement pas été appliqués depuis le mois de janvier. Alors qu'ils contiennent la description des bonnes mesures. Au lieu de s'y référer et de les appliquer, les irresponsables qui nous gouvernent (à l'échelon mondial, les autorités nationales et locales n'en sont ici que les relais serviles) ont sorti de leur chapeau des mesures invraisemblables, qui n'ont jamais été préconisées ni même envisagées comme le confinement de populations entières ou l'imposition du port du masque à des gens en bonne santé !
Écoutons l'analyse de trois sociologues spécialistes des catastrophes au sujet du couvre-feu :
« Cette annonce inspire un sentiment de déjà-vu. Elle ressemble, par bien des points, à l’annonce du confinement il y a sept mois.
D’abord, aucune des deux ne faisait partie de l’arsenal des mesures prévues pour gérer une crise sanitaire. Aucune des deux ne constitue à proprement parler une mesure de santé publique.
Ensuite, ce sont deux mesures sur lesquelles on ne dispose que de très peu de connaissances, qu’il s’agisse de leurs effets pour contrôler une épidémie, ou de leurs « effets secondaires », sanitaires, économiques ou sociaux. C’est d’autant plus surprenant que la science est mise en avant pour justifier ces décisions, sans qu’elles n’aient jamais été véritablement testées ou étudiées. »
Je donne infra la marche à suivre, la seule qui convienne, celle qui doit être appliquée dans de pareils cas et à laquelle on a renoncé pour des raisons dont la vraie mise en lumière relèvera, ici et ailleurs, du droit pénal.
Je cite encore trois commentaires d'observateurs avisés, décrivant avec la lucidité qui a déserté nos gouvernements, le véritable visage du problème !
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"Synthèse du système de décision gouvernemental :
1) Les cas augmentent.
2) Urgence! Il faut des masques!!! Il faut des fermetures!!!
3) Les cas continuent à augmenter, comme si de rien n'était.
4) Urgence! Il faut davantage de masques et davantage de fermetures!!!
(...on répète ad libitum les points 3 et 4...)
5) Les cas arrivent au 100%, puis chutent.
6) Vous avez vu? Les cas ont chuté! On avait raison à imposer des masques et des fermetures!"
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Le député au Grand Conseil genevois Yvan Zweifel a publié ceci ce jour sur un réseau social. Je le rejoins entièrement :
"Depuis juillet, le Conseil d’État a imposé de nombreuses contraintes aux commerces et entreprises genevois, ceci alors que la situation épidémiologique de cette époque ne le justifiait pas.
Ces entreprises ont mis en place des plans de protection coûteux, alors qu’elles sortaient d’un confinement qui les a lessivées. Elles ont tout fait pour protéger leurs personnels et leurs clients avec la promesse de ne pas reconfiner.
Aujourd’hui, force est de constater qu’on s’est moqué d’elles et cette situation est inadmissible.
Alors que l’OMS a bien expliqué que confiner sa population est néfaste, tant d’un point de vue sanitaire qu’économique ou social, et alors qu’il n’y a pas de foyers d’infection chez les coiffeurs, les magasins de vêtements ou les restaurants, le Conseil d’État a pris cette inexplicable décision de les fermer.
Ne fallait-il pas plutôt augmenter les capacités hospitalières, par exemple en ouvrant des abris PC pour avoir plus de lits, en fermant la cellule de traçage qui ne trace plus rien pour renforcer le personnel médical ou encore faire appel à l’armée et à la protection civile pour envisager l’installation d’un ou deux hôpitaux militaires pour soulager les HUG ?
J’ai mal pour eux et j’ai mal pour Genève !"
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